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L'intérêt de Twyfelfontein se caractérise par sa grande galerie de gravures pariétales, l'une des plus riche du continent africain. |
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![]() La présence de cette source explique probablement le choix du site par les communautés bochimans. |
Le site se trouve près d'une source d'eau qui donna son nom à Twyfelfontein, « source douteuse », appellation qui fut préférée à l'antérieure Uri-Ais, « source bondissante », pour des raisons de réalisme, étant donné le peu d'enthousiasme du débit hydraulique…! ![]() |
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L'ensemble de Twyfelfontein se compose pour l'essentiel de gravures réalisées dans le grès rouge il y a environ 6 000 ans. ![]() Avec le temps, elles se sont recouvertes d'une forte patine qui les protège de l'érosion. |
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Très peu de personnages humains apparaissent, contrairement aux animaux, à leurs empreintes et aux formes géométriques. Certaines espèces animales représentées ne se rencontrent plus aussi loin au sud de nos jours : le rhinocéros, la girafe ou le lion. |
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Pour la plupart, ces œuvres pariétales furent vraisemblablement réalisées par des chasseurs san, 3 000 à 4 000 ans avant notre ère. |
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Les différences de couleurs et d'usure ont permis d'identifier six phases de réalisation distinctes. ![]() Quelques gravures, cependant, ont été, de toute évidence, exécutées par des « imitateurs » et ne datent que du XIXe siècle. |
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