Carnets de voyages

Située dans la partie Est de l'Ile-du-Prince-Edouard, Charlottetown est bordée par la North River à l'Ouest, par la Hillsborough River à l'Est et par le port de Charlottetown au Sud.
Malgré sa taille, Charlottetown n'est pas qu'une petite ville des Maritimes comme les autres, elle est également une capitale provinciale avec tout le prestige, l'élégance et les institutions que cela comporte...

Le site de Charlottetown, lieu de rassemblement des Mi'kmaq, était connu des explorateurs et colonisateurs français au XVIIIe siècle. Mais ce n'est qu'en 1768, sous l'impulsion de colons britanniques, que la ville a véritablement pris naissance.
Elle fut nommée Charlottetown en l'honneur de l'épouse du roi de Grande-Bretagne, George III.

Située dans la partie Est de l'Ile-du-Prince-Edouard, Charlottetown est bordée par la North River à l'Ouest, par la Hillsborough River à l'Est et par le port de Charlottetown au Sud. Malgré sa taille, Charlottetown n'est pas qu'une petite ville des Maritimes comme les autres, elle est également une capitale provinciale avec tout le prestige, l'élégance et les institutions que cela comporte... Le site de Charlottetown, lieu de rassemblement des Mi'kmaq, était connu des explorateurs et colonisateurs français au XVIIIe siècle. Mais ce n'est qu'en 1768, sous l'impulsion de colons britanniques, que la ville a véritablement pris naissance. Elle fut nommée Charlottetown en l'honneur de l'épouse du roi de Grande-Bretagne, George III.
		Le charme de Charlottetown réside dans ses maisons en bois de style victorien et ses places plantées d'arbres.
	Pas un élève canadien ne l'ignore, Charlottetown est surtout le berceau de la Confédération. En effet, la célèbre conférence préparatoire de 1864, qui décida de la création de la confédération canadienne trois ans plus tard, se tint à Charlottetown, dans la Province House (Maison Provinciale). Cet édifice abrite toujours l'assemblée législative de la province.
			Avec ses flèches élancées, ses pinacles pittoresques et ses entrelacs complexes, la Basilique St-Dunstan offre un excellent exemple canadien du style néo-gothique de l'apogée victorien. Erigée entre 1897 et 1907, elle fut ravagée par un incendie en 1913. Des citoyens décidèrent d'en conserver les murs encore debout et de reconstruire l'édifice selon le plan originel de l'extérieur dressé par F.-X. Berlinguet. L'intérieur fut redessiné par J.-M. Hunter. Consacrée et élevée au rang de basilique en 1929, elle constitue le centre spirituel du catholicisme à l'Ile-du-Prince-Edouard.